(Cette page sera mise à jour régulièrement.)
Acte I : doit...
... introduire les protagonistes, les conflits et la question du livre.
... répondre à la question « qui se bat contre qui et pour quoi? » (de John Truby dans son livre Story Structure)
... à la fin de cet acte, nous laisser avec un problème encore plus grand qu'à son début.
... introduire le principal aidant/mentore/allié, qu'il soit une personne ou un concept.
... présenter le « refus de l'appel » (de christopher Vogler dans son livre The writer's Journey)
(Définition tirée du site de Mary Carroll Moore How to Plan, Write and Develop a Book)
Acte II : Cette partie de l'histoire constitue le temps des conflits. Une situation de déséquilibre et d'aggravation succède à l'incident déclencheur. Dans cette phase, le protagoniste qui a mesuré l'ampleur de la tâche à accomplir, se lance dans l'action et affronte les obstacles. (Définition tirée du logiciel Comment écrire un roman)
Acte III : C'est la partie de l'histoire où l'on met un terme à la situation conflictuelle du personnage, c'est la résolution. « À cette étape, une question se pose : Le protagoniste a-t-il atteint son objectif ? » Il y a trois réponses possibles :
« 1. L'objectif est atteint. Il arrive aussi que l'objectif, une fois atteint, puisse paraître dérisoire.
2. L'objectif n'est pas atteint. En échouant, le protagoniste découvre que son but était un leurre.
3. Fin non résolue. Dans ce cas, l'auteur refuse de trancher, préférant opter pour une fin ouverte. Cette option peut s'avérer risquée, et le lecteur serait en droit de se sentir frustré.
Dans tous les cas, la résolution aboutit à la transformation du protagoniste. Cette transformation peut justifier à elle seule, la quête du personnage. » (Définition tirée du logiciel Comment écrire un roman)
Climax : « Le climax est la scène qui permet à la situation conflictuelle d'atteindre son paroxysme tant sur le plan dramatique qu'émotionnel. Le climax résulte d'une succession d'obstacles, dont il représente le point culminant. Il est fréquent que le climax aboutisse à la mort des personnages. Le climax est généralement la conclusion de la partie 2 du roman, annonçant la résolution de l'histoire. » (Définition tirée du logiciel Comment écrire un roman)
Critique intérieur : Ce sont les pirates intérieurs, ces voix, pas toujours agréables, qui parlent dans notre tête. Les voix insidieuses du mental! Habituées à dénigrer tout ce qu’on fait et à bloquer nos élans créateurs, ces voix autoritaires nous intimant de ne pas déroger aux règles. L’autocensure devient maître à bord! C’est le pirate qui freine l’avancée de notre vaisseau de créativité. À envoyer balader au loin le plus vite possible !!
Dialogue : C'est ce que les personnages se disent dans un récit. Les dialogues doivent servir un but précis. Dans un roman, il est rare que les personnages discutent de la pluie et du beau temps.
Le dialogue a plusieurs fonctions :
1. Il permet de caractériser les personnages
2. Il fait avancer l'intrigue.
3. Il crée la tension et le suspense.
4. Il permet au lecteur de mieux s'attacher aux personnages
5. Il révèle la nature humaine dans toute sa beauté et ses faiblesses.
Écrivain intérieur : C'est la partie de soi qui connaît déjà tout de l'histoire que nous voulons écrire. Elle travaille en harmonie (et souvent pas toujours en harmonie) avec les cinq constituantes de l'être humain, c'est-à-dire avec son subconscient (cerveau droit, intuition, image...), son mental (cerveau gauche, l'ordre, analyse, structure...), sa mémoire (le passé, les souvenirs...), ses émotions (colère, amour, joie, tristesse, peur...) et son corps (les cinq sens : le toucher, le goût, l'ouïe, la vue et l'odorat).
L'écrivain intérieur a un ennemi : le critique intérieur.
Narrateur : « Dans tout roman, un narrateur raconte une histoire. L'auteur est celui qui écrit le roman, il n'appartient pas à l'univers du roman. L'auteur est une personne réelle. Le narrateur est celui qui, dans le roman, prend en charge la narration. Le narrateur n'existe donc pas réellement, il est tiré de l'imaginaire de l'auteur. Face à un roman, il faut toujours se demander quelle est la position du narrateur, quelle est sa place par rapport à l'histoire. Si dans un récit autobiographique les deux notions tendent à se confondre, il n'en demeure pas moins que le narrateur reste une création de l'auteur (qu'il soit ou non à son image). » (Cette définition est tirée du logiciel Comment écrire un roman)
Nouvelle littéraire : « On peut définir la nouvelle comme un court récit qui évoque moins une histoire à développements multiples qu'un instant de vie dans sa richesse, sa complexité, sa diversité. Un récit qui fait entrer le lecteur très vite au coeur même de l'histoire sans préparation préalable.
Quelles sont les spécificités de la nouvelle ?
C'est un récit bref (d'une page à une vingtaine) tendu et centré.
1. C'est un récit avec peu de personnages afin d'éviter la dispersion.
2. Il est circonscrit autour d'un seul thème ou événement : cela peut être un souvenir, un épisode de vie, une anecdote marquante, un moment-clé.
3. Une entrée en matière souvent immédiate sans qu'il soit nécessaire de prendre le lecteur par la main pour l'entraîner dans le récit.
4. Le but est d'aller à l'essentiel à savoir cerner au plus près le fait ou l'événement qui sera l'objet même de la nouvelle : le temps fort que l'auteur développa. »
(Cette définition est tirée du logiciel Comment écrire un roman)
Point de vue narratif : « Le point de vue est un choix que fait le narrateur pour raconter son histoire : il choisit un angle de vue sur l'action qu'il raconte. Le point de vue est en relation avec ce qu'il sait des faits et des événements.
Il existe trois types de points de vue : interne, externe et omniscient. » (Définition tirée du logiciel Comment écrire un roman)
Réécriture : C'est le travail qu'effectue l'écrivain pour peaufiner son texte. Un écrivain peut procéder à plusieurs réécritures avant d'être pleinement satisfait de son travail.
Voix : C'est la manière personnelle de l'écrivain de s'exprimer, d'utiliser les outils à sa portée tels les dialogues, l'action, les descriptions, les flashbacks et bien d'autres techniques pour ce qui est du contenu de l'histoire, et les mots, les phrases, les paragraphes et les transitions pour ce qui est du contenant de l'histoire.
C'est aussi la façon particulière qu'ont les personnages de parler et de penser. Il y a, d'une part, la voix de l'écrivain, et d'autre part, la voix des personnages. Cette dernière s'inscrit dans la première.