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mardi 14 septembre 2010

Je cogite, je réfléchis...

Depuis plusieurs jours, je réfléchis, je cogite.
Petit à petit, dans mon esprit, mon prochain article pour le blogue prend forme, des éléments nouveaux s'ajoutent. Je songe à différents angles possibles avec lesquels je pourrais aborder le sujet, celui qui me trotte dans la tête, qui me harcèle, qui ne décolle pas... Je sens que la vague va être forte, il y a des choses que j'ai envie de dire depuis longtemps, des secrets (si on peut appeler ça des secrets: je dirais plutôt des visions personnelles sur la créativité... Ne t'emballe pas trop, là, Annie! :)), que je garde enfouis au fond de moi... Est-ce réellement le temps de m'ouvrir? Serais-je vue comme une folle? Sûrement! Mais je l'assume... Il faut être un peu fou pour faire ce métier, car l'écrivain, on le sait bien, vit entre deux mondes : celui de la Terre et celui de l'imaginaire. Il n'est jamais totalement ni dans l'un ni dans l'autre, vacillant constamment entre les deux. Comme un pont entre le ciel et la Terre, il rapporte du ciel, par son langage, sa sensibilité, son imagination, ce qu'il a vu, entendu, senti, goûté (??), vécu, là, dans la peau de tous ses personnages qu'ils soient dragons, lutins, sorcières, créatures imaginaires, hommes, femmes, enfants, adolescents, animaux, arbres, plante, objets...  

La suite dans le prochain billet...

Merci d'être là et de me lire.
Annie xxx...

6 commentaires:

  1. Jusqu'ici, ça va, personne ne va douter de ta santé mentale. LOL
    J'attends la suite. ;)

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  2. Si je me fie à l'avant-goût que tu as partagé sur Facebook, ça risque d'être fort intéressant!

    Allez, cogite, Annie!

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  3. Hey! Tu ne peux pas nous laisser dans l'attente comme ça!!! Dépêche-toi d'écrire la suite!

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  4. Oui, je continue de cogiter, en me berçant longuement sur ma vieille chaise berçante dans ma chambre (C'est là que mes idées arivent le plus facilement, avec une musique d'ambiance qui joue en sourdine...). Je me parle, je parle aux murs ou à un auditoire invisible, et les mots sortent, aisément...

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  5. Annie, tu peux continuer à te bercer et à laisser tes idées cogiter, car à mon avis c'est la meilleur façon d'atteindre ses buts. Et ne sois pas inquiète, la plupart des gens parlent seuls ou aux murs ou à une personne imaginaire, mais toi, tu as le courage de l'avouer. Ne lâche pas.

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  6. Petite erreur à corriger : vous devriez voir écrit dans mon précédent commentaire « arrivent » au lieu de « arivent ». Désolée...

    @Céline : Merci pour tes mots d'encouragement. Ils me font du bien. C'est gentil à vous de passer sur Roman en chantier, vous êtes toujours la bienvenue. :)

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