mardi 25 janvier 2011

L'Atelier « coaching personnalisé »

Eh bien oui ! J'ai ajouté, dans ma liste d'ateliers, un nouvel atelier : l'Atelier « coaching personnalisé ».

Je me lance !!! 

Ceux et celles qui veulent oser l'aventure de l'écriture, et qui aimeraient être guidés et supervisés par une personne ayant déjà parcouru le chemin, ce cours est fait pour vous ! 

Pour plus d'information, faites un petit tour à ma page Mes ateliers d'écriture. 

Ma passion pour l'écriture est telle qu'il me faut l'enseigner même à ceux qui se trouvent à des centaines de kilomètres de chez moi : vive l'Internet !! 

Mon objectif : aider ceux qui veulent écrire et qui sont prêts à mettre du temps (et surtout du coeur) dans leur projet. 

L'offre est lancée ! 

Si vous êtes intéressé(e)s, faites-moi signe !!

Annie xxx... 

samedi 22 janvier 2011

Les GUILLEMETS et les DIALOGUES

La semaine passée, lors de mes deux ateliers d’écriture, les participants et moi avons discuté sur la façon d’écrire un dialogue. C'est durant le cours du vendredi, cependant, que j’ai soudain allumé sur le procédé qui utilise les guillemets. Avant, je dois vous l’avouer, je ne comprenais cette technique que partiellement…

Vous savez, j’adore enseigner l’écriture, parce que j’y apprends énormément ! C’est fou…

Donc, c’est en lisant un extrait du roman L’indésirable aux participants que je compris en détail cette façon d’écrire les dialogues.

Belle technique, vous allez voir ! Plus je la découvre, plus je l’aime.

Allons-y avec un exemple tiré de mon imaginaire, un premier jet, avec quelques retouches, d’accord ? Et toute son imperfection : mon but, ne l’oubliez pas, est d’illustrer la méthode.

Aline marcha nerveusement vers Jean. Il ne l’avait même pas remarquée, ce qui augmenta son anxiété, et son cœur s’emballa. À tout moment, ses jambes pouvaient lâcher. Il ne le fallait pas, il devait le savoir. Décidée, malgré ses échasses flageolantes, elle se planta devant lui. « Je suis ta fille, dit-elle. » Il pouffa de rire. « Qu’est-ce que tu racontes, petite ? T’as mal dormi ?

− Non, j’ai la preuve ADN. Tiens… »

Il saisit le billet qu’elle lui tendait, et plus il le lisait, plus son visage blêmissait. Il braqua soudain des yeux sévères sur elle. Aline tressaillit. « Comment est-ce possible ? » demanda-t-il en lui remettant brusquement la feuille. « Je n’ai pas d’enfant, je n’ai pas de femme, je suis seule depuis…

− Tu n’as jamais rencontré de femmes dans ta vie ?

− Ben, euh, fit-il, oui, quelques-unes, mais rien de sérieux…

− Tu ne t’es jamais imaginé que l’une d’entre elles aurait pu tomber enceinte de toi ? »

Il se frotta machinalement le menton, plissant les yeux. « Y a p’t-être cette gitane, Françoise, avec qui j’ai batifolé un peu plus longtemps…

− Francesca, peut-être ?

− Non, elle s’appelait Françoise ! Quand je l’ai connue, elle nichait face à l’océan Pacifique dans une espèce de caravane bleue qu’elle avait probablement tirée avec son vieux Jeep. »

Jean se mit à sourire, semblant tout à coup perdu dans ses souvenirs. Aline en profita pour sortir une photo de sa poche et la lui brandit sous le nez. « Cette caravane, par hasard ? » Il coula un regard vers elle. Ses yeux trahissaient une profonde incrédulité, de la peur aussi. D’un geste lent, il prit la photo et l’examina.

Ce qu’il faut comprendre avec cette technique, c’est que chaque fois que vous voulez introduire une phrase de la narration, vous devez fermer les guillemets pour les ouvrir plus tard, lors d’une réplique suivante, comme le démontre l’exemple ci-dessous.

« Je suis ta fille, dit-elle. » Il pouffa de rire. « Qu’est-ce que tu racontes, petite ? T’as mal dormi ?

Si je n’ai pas fermé les guillemets à la suite de la deuxième réplique, c’est parce qu’une autre réplique suivait directement. Dans ce cas précis, vous devez alors utiliser les tirets pour introduire cette nouvelle réplique. Et lorsque vous avez plusieurs répliques qui s’enchaînent, sans inclure de phrases appartenant à la narration, privilégiez les tirets.

« Je n’ai pas d’enfant, je n’ai pas de femme, je suis seule depuis…

− Tu n’as jamais rencontré de femmes dans ta vie ?

− Ben, euh, fit-il, oui, quelques-unes, mais rien de sérieux…

− Tu ne t’es jamais imaginé que l’une d’entre elles aurait pu tomber enceinte de toi ? »

La première réplique est introduite par un guillemet qu'on ouvre, puis les suivantes sont précédées d'un tiret. Et la dernière réplique de l'échange se termine par un guillemet fermé. Voilà.

Ça va ? Vous me suivez toujours ? OK, alors on peut continuer.

Qu’en est-il maintenant des incises ? C’est très simple. Si elles sont brèves, vous les insérez à l’intérieur des guillemets. « Je suis ta fille, dit-elle. » Par contre, si elles sont longues, vous fermez le guillemet avant et écrivez l’incise après.

Il saisit le billet qu’elle lui tendait, et plus il le lisait, plus son visage blêmissait. Il braqua soudain des yeux sévères sur elle. Aline tressaillit. « Comment est-ce possible ? » demanda-t-il en lui remettant brusquement la feuille. « Je n’ai pas d’enfant, je n’ai pas de femme, je suis seule depuis…

Et si une autre réplique du même personnage suit, vous rouvrez alors les guillemets comme je l’ai fait.

Pour conclure, voici un extrait tiré du roman de Sarah Waters, L’indésirable, P.136-137. Je vous conseille de prendre votre temps pour analyser la façon dont l’auteure utilise les guillemets et les tirets dans ses dialogues. Bonne lecture et bonnes découvertes !

« Ce n’était la faute de personne, dit Caroline. C’est ce beau-frère qui s’est déchaîné sur le clavecin. Et si les parents avaient su tenir la petite au lieu de la laisser courir partout — ou mieux encore, s’ils ne l’avaient pas simplement amenée… »

Ce qui nous ramenait exactement au point de départ, si ce n’est que, cette fois, c’est Caroline, sa mère et moi qui revécûmes le drame du début à la fin, chacun apportant sa vision légèrement différente des événements. De temps à autre, je jetai un regard vers Rod. Je le vis allumer une nouvelle cigarette — qu’il rata complètement, laissant tomber du tabac sur ses genoux —, je le sentais remuer sans cesse, s’agiter, comme agacé par nos voix. Toutefois, je ne m’étais pas rendu compte à quel point il se sentait mal jusqu’à ce qu’il bondisse soudain sur ses pieds.

« Assez ! fit-il. Je ne peux plus supporter ça. J’en ai assez entendu pour aujourd’hui. Excusez-moi, Maman, docteur : je retourne à ma chambre. Je suis désolé. Je… je suis désolé. »

Il parlait d’une voix si épuisée et se déplaçait si péniblement que je fis mine de me lever pour l’aider.

« Ça va aller ?

− Très bien », fit-il aussitôt, tendant une main comme pour me repousser. « Ne vous inquiétez pas. Réellement, je vais très bien. » Il eut un sourire peu convaincant. « Simplement, je me sens un peu minable, après ce soir. Je vais… je vais dire à Betty de m’apporter un caco. Après une bonne nuit de sommeil, je serai en pleine forme. »

Sa sœur se leva, se dirigea vers lui et glissa un bras sous le sien.

« Vous n’avez pas besoin de moi, Maman? fit-elle à mi-voix. Dans ce cas, je vais aussi vous dire bonsoir. » Elle me jeta un regard gêné. « Merci d’être passé nous voir, docteur Faraday. C’est très attentionné de votre part. »

Je fus contraint de me lever à mon tour. « Désolé de n’avoir pas pu apporter de meilleures nouvelles. Mais je vous en prie, essayez de ne pas trop vous inquiéter.

− Oh, je ne suis pas inquiète », fit-elle avec un sourire aussi brave que celui de son frère. « C’est gens peuvent bien dire ce qu’ils veulent. Ils ne toucheront pas à Gyp. Je ne les laisserai pas faire. »

Roderick et elle sortirent, le chien trottinant fidèlement sur leurs talons, rassuré pour le moment, par l’assurance de leurs voix.

Voilà.

Merci d’être là et de me lire !

Annie xxx…

vendredi 14 janvier 2011

25 façons d'améliorer son écriture en 30 minutes par jour

J'ai reçu aujourd'hui l'exemplaire du mois de février du magazine Writer's Digest. En le lisant, je suis tombée sur un article vraiment bien : 25 façons d'améliorer son écriture en 30 minutes par jour. Je vous partage la première dont l'auteur est David Morrell. 
ATTENTION ! Je vous préviens. Ce qui suit est une traduction libre, alors... comme je ne suis pas traductrice de métier, j'y suis allée du mieux de mes compétences en anglais. (en passant, google traduction m'a bien été utile) 

« Un morceau d’écriture est une chose vivante. Notre but, comme écrivain, consisterait à être au service de cela et à faire ce qu’il veut, à être son instrument. Le flux de mots circulant de notre tête jusqu'à la feuille (ou à l’écran) est principalement entravé par deux obstacles — quand nous forçons l’histoire à faire quelque chose qu’elle ne veut pas, ou quand une partie de nous n’est pas prête à aborder les implications du travail sur le thème et les émotions.

Une façon pour éviter ces blocages est de développer une relation avec votre texte, comme s’il était une vraie personne. Au début de chaque session d’écriture, spécialement lorsque vous n’arrivez plus à avancer, littéralement demandez à votre travail : “Qu’est-ce que tu veux faire ? Où veux-tu que j’aille avec toi? Pourquoi décroches-tu?” C’est un truc psychologique qui crée presque toujours une réponse imaginée, à l’instar de “Cette scène est ennuyeuse. Pourquoi veux-tu que je fasse ça?” ou “Cette section est bourrée de trucs artificiels. Pourquoi ne veux-tu pas être plus vrai avec ton sujet?” Le dispositif ne prend qu’une minute, pas trente, et avec les années, il a réussi à m’éviter l’écriture de nombreux passages qui auraient pu être inutiles ou encore malhonnêtes. » — David Morrel

Et vous, quels sont vos trucs pour débloquer votre écriture ? Je vous lance l'invitation à les partager aux autres pour que tout un chacun en bénéficie.
 
Je vous remercie à l'avance !
 
Annie xxx...   

mercredi 12 janvier 2011

Mon état d'âme...

Depuis deux jours, voire plus, je traîne une fatigue, celle-là qui revient parfois me hanter, plutôt me happer. Hier, j'étais tellement à terre, que je n'ai rien fait, à part dormir et lire. Et il y a mes sinus qui sont T-O-U-J-O-U-R-S congestionnés. Je suis T-A-N-N-É-E... Ce fichu de problème de sinus me tape sur les nerfs à la longue. Cela fait plus de 10 ans que j'ai ce problème. Tests d'allergie passés : rien donné. Chiro, orthothérapeute, naturopathe, produits naturels par dessus d'autres produits naturels. J'ai tout essayé, mais rien ne marche.

C'est quoi mon problème ?

Un de mes bons amis, un vieil homme d'une grande sagesse, m'a un jour dit : « C'est mental, Annie. » Quoi ! Mental ! Je ne l'ai pas cru. Ou j'ai dû ne pas le comprendre, à ce moment-là. Mais là, après toutes ces années, je réalise qu'il a peut-être raison. Mes sinus sont congestionnés, et la cause n'est pas physique, c'est parce que je pense trop... « Slaque le trottel ! » me dit souvent mon chum. Comment, pour une écrivaine, ne pas trop penser, alors que pour faire son métier, elle doit penser ? 

Et cette nuit, j'ai fait des rêves où j'étais de retour à l'école : j'étais en quatrième secondaire et je ne trouvais plus mon horaire, donc je ne savais pas à quel cours j'allais. Les minutes avançaient et j'allais assurément être en retard. Je paniquais. C'était le bordel dans ma case, pas moyen de trouver ce fichu horaire. J'étais très embarrassée. Souvent je fais ce rêve quand je ne suis pas en équilibre dans ma vie : il m'indique mon état d'être. Et là, je dois m'analyser pour comprendre ce qui ne va pas. Plus tard dans le rêve, il y avait des mini-tornades qui approchaient de moi. Pour moi TORNADE = COLÈRE !! Et ce matin, je pète une petite bulle à mes fils qui se querellaient à cause d'une niaiserie !

C'est quoi mon problème ?

Merci d'être là et de me lire.
Annie xxx...  

dimanche 9 janvier 2011

Le lâcher-prise et... l'écriture

Pourquoi tout contrôler?

Je suis une personne qui a cette fâcheuse tendance à vouloir tout contrôler : la maison (je déteste les traîneries), mes enfants (nombre d’heures devant l’écran, l’alimentation, l’étude…), ma créativité, surtout, en l’empêchant de respirer, en ne la reconnaissant pas comme il le faudrait, et lorsque je décide enfin de la laisser être, ce sont mes personnages que je contrôle… C’est ce que j’ai tenté de faire avec Adeline dans sa première aventure (Adeline, porteuse de l’améthyste). Mais j’ai vite compris qu’elle avait d’autres valeurs que les miennes, d’autres vues, que je ne pouvais pas lui faire faire tout ce que je désirais : elle avait ses propres motivations.

Pourquoi est-ce que je vous parle de cela? Parce qu’en ce moment, je suis dans l’écriture du premier jet d’une nouvelle littéraire et je prends conscience que chaque fois que je fais en sorte qu’elle se déroule d’une certaine façon, je bloque : je perds le goût de continuer à écrire. Décidément, ce n’est pas moi qui ai le contrôle. Je dois apprendre à lâcher-prise pour permettre à l’histoire qui veut se dire de prendre vie sous ma plume. Cette histoire est déjà complétée, ailleurs, dans un univers invisible (ou parallèle), et je n’ai qu’à la laisser passer à travers mon être, comme si j’étais un simple canal pour elle. Je suis convaincue (et vous le savez déjà, car j’en ai déjà parlé dans un ancien billet) que toutes les histoires sont déjà écrites quelque part. Nous, écrivains, n’avons qu’à les retranscrire sur papier ou à l’écran.

Ceci étant dit, comment fait-on exactement pour écrire l’histoire qui veut se dire, celle qui pousse en nous pour sortir, celle qui nous a choisis pour la rendre vivante? La réponse, selon moi, se trouve dans l’écoute intérieure.

Toutefois, le monde intérieur d’une personne est incroyablement vaste. Quoi écouter au juste et où regarder précisément? En effet, en nous se superposent plusieurs couches auxquelles nous avons accès par la pensée. Il y a d’abord la mémoire où reposent tous nos souvenirs, réminiscences de notre vie actuelle, mais aussi de celles que nous avons vécues avant… De plus, il y a ce que j’appelle la couche intérieure de surface, cette mer d’idées usées à la corde, enrichie depuis l’aube des temps par les mythes et les légendes et les nombreuses histoires déjà écrites qu’on a lues et entendues, relues et réentendues, et toutes ces images qui nous bombardent de tous côtés : télévision, films au cinéma, journaux, revues, Internet… Tout ce qui provient de cette couche n’est pas toujours authentique ni vrai. Ce qui l’est doit tirer son origine de la couche intérieure profonde. Quand l’histoire vient de la couche intérieure profonde de l’écrivain, on dit qu’elle est organique. Comment l’écrivain peut-il permettre à la vraie histoire, celle qui veut se dire, de parvenir enfin jusqu’à la feuille ou à l’écran?

L’expérience. Oui. Les écrivains qui ont une longue carrière derrière eux savent de quoi je parle. Ils ont, avec les années, développé leurs propres méthodes et techniques pour extraire la vraie histoire de cette couche intérieure profonde.

Cependant, il n’y a pas que les écrivains expérimentés qui ont accès à cette couche intérieure profonde. Je connais de jeunes écrivains qui ont déjà la maturité d’être à l’écoute de ce qui se passe à l’intérieur d’eux. Je crois surtout que pour écrire de façon organique, il faut d’abord taire la voix de notre critique intérieur pour ensuite écouter simplement ce qui est là, dans l’instant présent, en s’ouvrant à la dimension intérieure où l’histoire existe déjà. Il faut lâcher-prise sur tout ce qu’on connaît déjà et faire confiance. Voilà. Lui faire confiance, à elle : l’histoire.

Que vous en soyez conscient ou non, toute histoire qui cherche à passer à travers l’écrivain a quelque chose à lui enseigner. Et pour découvrir cette chose, ce dernier doit être humble.

Écrire de façon organique demande donc, d’une part, que l’écrivain mette de côté son égo pour laisser vivre ce qui veut vivre, et ainsi comprendre le message que toute cette fichue histoire tente de lui livrer, et d’autre part, qu’il s’émerveille face à la grandeur qui l’habite, qu’il en soit curieux, voire amoureux.

Le lâcher-prise… pour que nos personnages prennent leurs propres décisions, pour que la vraie histoire soit, pour que nous soyons témoins de sa manifestation.

Merci d’être là et de me lire.

À bientôt,

Annie xxx…

dimanche 2 janvier 2011

C'est beau la vie!

Voici un billet d'Isabelle, collaboratrice au blogue. Bonne lecture !

Je viens tout juste de commencer le nouveau livre de Christine Michaud « C’est beau la vie », et je suis déjà secouée! Dès le premier chapitre, je suis captivée et c’est au cours du troisième que je m’exclame : « Oh my God!!!! ». Bien sûr, j’ai tout de suite eu envie de vous en parler! Le résumé de la page de couverture indique ceci : « Vous avez entre vos mains un livre qui vous veut du bien… » Et c’est très vrai! Parcourir ces courts chapitres est plus que bon pour le moral!

Voici un extrait de ce que Madame Michaud raconte :

« Imaginez que l’on vous prépare un dîner de rêve… Vous avez l’opportunité d’inviter trois personnes de votre choix. Profitez-en pour convier celles qui vous impressionnent même si elles vous semblent complètement inaccessibles. Que vous pensiez à Céline Dion, le dalaï-lama ou Oprah Winfrey, elles accepteront avec grand plaisir… »
« Inscrivez ces trois noms sur une feuille… Maintenant, décrivez ces personnes en notant leurs qualités ou ce qui vous impressionne chez elles. Pourquoi les avez-vous choisies? »

Difficile de choisir seulement trois personnes! Il y a plusieurs auteurs, artistes, ou personnalités pour qui j’ai de l’admiration et que j’aimerais bien rencontrer. Mais je m’en tiens à la consigne indiquée. Voici donc mes trois choix : Céline Dion parce qu’elle m’impressionne de par son cheminement, Patrick Sénécal parce que j’adore ses romans et sa façon d’écrire et, finalement, John Lennon pour ses textes inoubliables.

Allez! Jouer le jeu vous aussi! Quelles sont les trois personnes avec qui vous aimeriez dîner et surtout, pourquoi?

« Alors, lisez attentivement ce que vous venez d’écrire parce que c’est de VOUS que vous parlez! »
« Surprenant, n’est-ce pas? Pourtant, vous avez assurément de nombreux points en commun avec vos trois invités. Vous êtes doté du même potentiel, de plusieurs qualités et talents similaires. Par contre, ce potentiel n’a peut-être pas encore complètement émergé du fond de votre être… »

Personnellement, c’est le genre de trucs qui me transporte, qui me permet de voir plus grand que grand et qui m’ouvre toutes les portes! Ça me rappelle aussi que ces gens que j’admire tant, à un moment donné dans leur vie, ont été au même niveau professionnel que je le suis actuellement. Tout devient alors possible pour moi!

Et vous? Êtes-vous surpris de ce que vous venez de découvrir? Y croyez-vous?

Isabelle

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