Je lance la flèche de ma destinée |
Je suis abonnée, depuis quelques années, à la revue Writer's Digest. Et le numéro de ce mois-ci est tout à fait stimulant. J'aimerais partager avec vous un petit trésor d'inspiration pour les écrivains, que j'ai trouvé au bas de l'une des pages de ce magazine. En anglais, c'est écrit : « Have an attitude of gratitude ». En mes mots, voici ce que ça dit :
« La seule personne qui soit capable de juger l'effort et le travail que vous faites est vous. C'est pourquoi l'une des jobs les plus importantes à faire, comme écrivain, est la célébration de vos succès, autant les grands que les petits, de vos échecs (si la notion d'échec existe vraiment dans ce métier...), de votre volonté à prendre des risques, de votre habilité à respecter vos engagements, de votre capacité à travailler avec la peur quand elle surgit — toute l'affaire ! Quand vous commencez à vous sentir authentiquement responsable de vous (et reconnaissant envers vos propres efforts et accomplissements), tout est possible. »
Cela m'a fait réfléchir sur l'importance que j'accorde aux paroles des autres sur moi-même et sur mon travail. Oui, je suis prête à recevoir des critiques constructives. De ce côté-là de l'affaire, il n'y a pas de problème. Mais je laisse désormais de côté tous les propos désobligeants et non constructifs exprimés par des personnes qui croient avoir une opinion juste sur ce qui arrive dans la vie des autres, et qui se croient au-dessus d'eux, supérieures... Je n'ai pas de temps à perdre avec eux ! La vie est trop belle pour s'arrêter et ruminer et se rabaisser et se... Bref, vous comprenez ?
J'ai un rêve ! Et je vais le réaliser ! Aucun obstacle ne viendra à bout de ma destinée, celle que je forme avec mon coeur et toute mon âme ! JE SUIS DÉTERMINÉE À RÉUSSIR !
Merci d'être là et de me lire,
Annie xxx...
Une vrai Guerrière!!! J'adore....
RépondreSupprimerIl faut en effet des tonnes d'encouragement et d'admiration et de reconnaissance pour soi-même. À la hauteur de nos tonnes de doutes, de découragement, de blocages et défaitisme.
RépondreSupprimerMerci de continuer à nous traduire les ti-bouts d'anglais que tu lis, parce que moi et l'anglais on n'est pas très amis. Pas assez pour se parler.
C'est tellement vrai... Arrêtons de tenir compte de l'opinion des autres face à notre travail, félicitons nous pour chacune des étapes que nous franchissons et réalisons nos rêves! Surtout, rêvons grand!
RépondreSupprimerMerci Annie pour ce beau billet motivant :) XXX
Belle philosophie en effet :)
RépondreSupprimer(J'avoue qu'en lisant "guerrière", j'espérais autre chose! hihihihi ;p)
@ Gen : Tu espérais quoi ? Je suis curieuse. :o)
RépondreSupprimer@Annie : Lire la section "arts martiaux" de mon blogue, ça te donnera une idée ;p Je pensais que je venais trouver une consoeur maniant à la fois plume et poing ;)
RépondreSupprimerC'est pas plus mal : on aura pas à se défier en duel! hihihihi
Je suis ceinture noire en karaté !! Hihihi... ;-) (J'ai reçu ma ceinture noire à titre symbolique, seulement. Par contre, je suis, en vrai, ceinture brune, avec tous les tests...) Mais il y a si longtemps, c'était quand j'étais au cégep et à l'université, vers la fin des années 80. ;)))
RépondreSupprimer@Annie : Ah ben, on a quand même des points communs ;) Seule différence : j'ai continué après la ceinture noire. Pas à courir après les ceintures, mais à m'entraîner et à combattre. J'adore ça! :)
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